Des promesses qui cachent bien des choses
Alors que les legislative se préparent, Hollande met en place un stratagème un peu étrange pour un président qui se veut honnête. Voici un petit argumentaire tiré du site de lUMP qui explique très bien la stratégie du gouvernement pour garder le monopole du pouvoir.
Argumentaire - Pour remporter les élections législatives, François Hollande trompe les Français !
I. En attendant les élections législatives, les socialistes nous ont présenté leur « plan A » en multipliant les promesses de cadeaux… Le retour partiel à la retraite à 60 ans, le coup de pouce pour le SMIC, la hausse de 25% de l’allocation de rentrée scolaire, l’encadrement des loyers.
Finalement, un mois de décisions socialistes, selon le chiffrage du rapporteur du budget, Gilles Carrez, c'est 20 milliards de dépenses publiques supplémentaires !
II. La vérité, c’est que les socialistes préparent leur « plan B », c’est-à-dire, dès le lendemain des législatives, un tour de vis fiscal sans précédent qui touchera durement les classes moyennes
Martine Aubry a déjà vendu la mèche en déclarant le 4 juin sur France 2 : « Nous, nous pensons qu'il y a d'énormes marges de manœuvre en faisant rentrer des impôts complémentaires. »
- Le retour partiel à la retraite à 60 ans sera financé par une hausse des cotisations de tous les salariés et des entreprises.
- Le coup de pouce au SMIC est à mettre en parallèle avec la taxation des heures supplémentaires, l’augmentation des charges des indépendants...
- La hausse de 25% de l’allocation de rentrée scolaire sera financée par une baisse du quotient familial.
- L’encadrement des loyers risque de faire fuir les investisseurs du marché locatif.
Cette politique de gribouille que nous proposent François Hollande et son gouvernement va détériorer l’emploi et le pouvoir d’achat, nous devons la refuser.
Ce qui me met le plus hors de moi dans ce constat c'est pas le plan A (aussi catastrophique soit-il) mais plutôt le plan B qui me fait sortir de mes gonds, parce que c'est nous qui allons prendre le retour en pleine face: les classes moyennes. Hollande ne voulait pas être le président des riches, le voila le président des pauvres, c'est ça la justice sociale !